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Seconde 3 : Débattre en ECJS
1- Moyens et formes d'action ?
--> alimenter le débat en utilisant vos rcherches

Dans quelle mesure peut-on accepter des formes d'action ayant un caractère illégal ?
N'est-ce préparer le terrain à un pouvoir ne respectant pas l'Etat de droit (arbitraire - dictature) ?

Sujets concernés :
- Dénonciation, délation ?
- Comment s'opposer à un projer de loi ?
- Groupe de pression / comité de lutte ?
- Lutter pour le droit de vote des immigrés
- Madame ou Mademoiselle ?
- Déobéïssance civique

(vos commentaires devront commencer par le rappel de votre sujet et être signés de votre prénom et de la première lettre de votre nom)

Ecrit par prof, le Vendredi 19 Mai 2006, 15:16 dans la rubrique "2- Médias : en revue".


Commentaires :

 
27-05-06
à 09:26

Chaque citoyen doit se renseigner à propos de la vie politique ou social à l'interieur de son pays, que ce soit par les médias: télévision, presse papier ou par internet. Bien que se renseigner ne soit pas une action politique, le fait que chaque citoyen soit informé est très important car chacun peut devenir concerné par un problème qui ne le regardait pa préalablement. 

Alexandre W


  mohamed florice
27-05-06
à 09:49

Re: Re:

Se taire, quand on sait qu'un délit ou un crime a été commis, c'est de la complicité passive; vous refusez de "balancer" sous prétexte que vous considérez cela comme immoral ; mais la complicité passive, dans le fait de laisser un délit ou un crime commis non condamneé, voila une chose immorale

  groupe geo, david, raquel....
27-05-06
à 10:08

Re: Re: Re:

Si l'acte est trop grave, je pense qu'il faut dénoncer sinon il faut mieux s'abstenir....

geogeo


  groupe geo, david, raquel....
27-05-06
à 09:48

la denonciation

LA DENONCIATION

Faut t'il dénoncer?

Que risque t'on si l'on ne denonce pas?

Quand signaler?

Pourquoi signaler?

A qui signaler?

Que signaler?

Comment signaler?


 
27-05-06
à 10:00

Re: la denonciation

Oui, il faut dénoncer car si on ne dénonce pas, on risque une peine assez élevée...D'apres l'article 434-1 du nouveau Code pénal, le fait, pour quiconque ayant connaissance d'un crime dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets , ou dont les auteurs sont susceptibles de commettre un nouveau crime qui pourrait être empeché, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d'emprisonnement ou environ 45 000 euros d'amende...

geo et raquel


  mohamed florice
27-05-06
à 10:13

Re: Re: la denonciation

Les organisations signataires [1] alertent sur le danger actuel du projet de « loi pour la prévention de la délinquance ».

Ce projet anéantit par des amendements le Code de l’Action Sociale et de la Famille. C’est une attaque en règle de la protection sociale, de la protection de l’enfance et de la Solidarité nationale.

Le chapitre 5 de ce projet de loi institue la délation comme nouvel outil des intervenants sociaux sous peine de sanction : « tout professionnel qui intervient au bénéfice d’une personne présentant des difficultés sociales, éducatives ou matérielles, est tenu d’en informer le maire de la commune de résidence ou la personne par lui désignée aux fins de le substituer. »

Ce projet de loi remet en cause les fondements de l’éthique professionnelle des intervenants sociaux et les destitue du secret professionnel garant de la protection des personnes. Nous sommes tous concernés

Le projet de loi pour la « prévention de la délinquance » participe d’un projet de casse du système d’Aide sociale. La répression remplace la prévention. Il stigmatise les populations les plus fragilisées déjà confrontées aux incidences des politiques « sociales » de ces vingt dernières années. Mobilisons-nous

  beniere
27-05-06
à 23:29

Re: Re: Re: la denonciation

Contribution intéressante, mais quelles sont vos sources ?


 
02-06-06
à 13:48

Re: Re: Re: Re: la denonciation

A première vue, participer à une action de manière illégale peut sembler ne pas être le meilleur moyen de parvenir à ses fins. En effet, comment prouver que son action est juste en utilisant un procédé qui est contraire à la loi ? Il semble donc contradictoire de lutter pour ses idées de manière illégale, d’autant plus que des moyens légaux comme le droit de vote, par exemple, sont à notre disposition.

Je crois qu'il faut donc faire attention. Pour parler d'un exemple que je connais, je vais m'intéresser au
droit de vote des étrangers en France.
Nombreux sont ceux qui sont contre, nombreux sont ceux qui sont pour. Mais comment lutter pour faire accepter ses idées ?

On peut employer la forme légale : voter, proposer des lois constitutionnelles, proposer des rapports. Mais cela ne semble accessible qu'à une minorité de personnes : comment un étranger pourrait il faire entendre sa voix par le vote alors qu'il lui est justement interdit de voter ? Comment le simple citoyen peut-il directement faire passer sa voix par le long chemin tortueux du système politique ?

Il semble donc que d'autres moyens d'action s'imposent.

Ainsi, certaines associations, avec la participation de certains maires ont organisée un "vote citoyen". Cette action consiste à poser une question de type référendum à la population et surtout de donner le pouvoir à tous les citoyens, étrangers ou non d'exprimer leur opinion sur la question.

Ce moyen d'action ne semble pas dangereux. Et pourtant, son caractère est à l'extrême limite de la légalité car il va à l'encontre de la loi qui ne donne pas le droit de vote aux immigrés.

Je crois donc que, dans certains cas, il faut savoir prendre en compte des moyens d'action à caractère illégal. D'ailleurs, quand les lycéens ont fait grève, en avaient ils légalement le droit ? Pas vraiment...

Il est vrai qu'on peut se demander si ne pas respecter la loi ne favorise pas l'apparition d'un pouvoir ne respectant pas l'Etat de droit. Comment imposer un Etat de droit alors que l’on emploie des moyens de lutte qui ne respectent pas cette même loi ? Mais pendant la seconde guerre mondiale, les résistants ne respectaient pas la loi, et utilisaient des moyens illégaux pour lutter.

Je crois donc que, dans certains cas, comme pour le droit de vote des étrangers, les formes d’actions ayant un caractère illégal peuvent s’imposer. Mais ces formes d’actions ne doivent pas être utilisées en premier lieu, mais comme « dernier recours » (pour le cas du droit de vote des étrangers, la question est récurrente et on peut donc, dans une certaine mesure, comprendre des moyens d’action type « votation citoyenne »).

Mais je crois qu’on peut aussi retourner la question : comment vouloir respecter la loi, en France, alors que certaines personnes qui nous gouvernent ne la respectent pas (économiquement parlant ?!) ?

Elise G. =)


  Amaury
03-06-06
à 10:01

Groupes de pressions, comité de lutte?

Ici, il faut bien distingué les associations et les groupes de pression ( eux même à differencier d'un comité de lutte). Une assiciation est en quelque sorte, permanente. Un groupe de pression l'est lui aussi. Le groupe de pression, ou plutot l'activité de ce dit groupe nous vient de l'anglais, LOBBING. Terme qui designe le couloir ou le vestibule de la chambre des Lord au parlement anglais. Cette action est donc de discuter, influencé, demander, bref discutailler avec les membres du parlement en question en vue de s'inisser dans le parlement en mettant un parlementaire de son "côté".

Les groupes de pression font donc pression sur des parlementaires pour qu'il puissent devellopper les idées d'nu groupe lors des débats.

D'un certains point de vue, le groupe de pression peut devenir un comité de lutte, le plus souvent un comité de lutte fait appelle à un groupe de pression, qui lui a les possibilité de mener cette lutte jusqu'au députés et sénateurs (pour la france). Mais l'ammalgame ne peut âs perduré, un groupe de pression ayant une esperance de vie plus grande qu'un comité de lutte.

Amaury ( et Pauline si elle finit son controle de maths :p)

PS: Désolé pour les eventuelles faute d'orthographes ( je sais qu'il y en a :S )

 
03-06-06
à 10:05

Re: Groupes de pressions, comité de lutte?

Mais comment ils agissent pour faire pression? Parce que ça peut être un peu dangereux non? Je veux dire selon les moyens qu'ils utilisent! Argent? Pétitions? C'est pas franchement la même chose!

Elise =)


 
03-06-06
à 10:10

Moyens d'action ==> Droit de vote des étrangers résidants en France

Moi je trouve que tant que les moyens d'action "illégaux" restent raisonnables  (que personne ne court de danger...) ils peuvent être utilisés.

Par exemple à Saint Denis il y a eu un vote qui a été organisé pour savoir si la population était favorable ou défavorable au droit de vote des étrangers résidants en France. Or ce vote n'était pas vraiment légal. Mais pourtant il n'y avait pas vraiment de danger. Sauf peut être pour le maire qui aurait pu être suspendu. Donc je trouve que dans certains cas, les moyens d'action "illégaux" peuvent être utilisés.

Jessica =)


  Amaury
03-06-06
à 10:18

Re: Moyens d'action ==> Droit de vote des étrangers résidants en France

Si c'est illégal, c'est dejà qu'il y a un petit risuqe, non?

Mais bon JE pense que generalement sa se limite à une discussion en bonne est due forme (c'est comme cela qu'on écrit?? :D)

Et puis les groupes de pression ne seraient pas légaux si il menaçait la democratie, question a poser:
Sont il des instruments de la democratie?

C'est à double tranchants.
Tout abus peut menacer l'ideal democratique, qui rappelon le ne peut pas etre réellement atteint.

 
27-05-06
à 09:52

Je voudrais parler des luttes contre des projets de lois, en effet, de nombreuses lois sont créées chaques années au profit de certaines personnes et au détriment de certains autres groupes sociaux( par exemple les jeunes cette année).

Dans les cas ou des lois sont votées au détriment de certaines personnes, manifester, bloquer des lieux ou procéder a des actes plus ou moins légaux devient un acte purement citoyen.

Se "battre" contre une mouvement politique qui n'est pas le sien est un acte politique voir mème de soidarité envers d'autres personnes, par exemple chaque année se déroule un rassemblement nommé G8 qui consiste arassemblé 8 ou 9 des dirigents des pays les plus riches du monde afin de régner sur le tiers-monde.Je pense que se battre contre ce type de rassemblement qui ne peut que défavoriser les pauvres au profit des Etats riches  est un acte politique de citoyen qui ne recquiert pas de formation politique.

cordialement, votre très dévoué Alexandre =)


 
27-05-06
à 10:07

On peut agir de manière illégale que lorsque cela peut aider à la socièté.

stacey


  antoine l'italien
03-06-06
à 10:33

moi je dit que:

Pour être tout à fait objectif, la désobéissance civique est en elle même totalement paradoxale: ne pas obéire est par définition antidémocratique puisque la minorité doit se plier à la majorité. Mais d'un autre côté, la démocratie nous garanti des libertés, notamment celle de désobéire quand la situation l'oblige. Le fait de privilégié l'intérêt personnel au profit de l'interêt collectif n'est donc pas justifié en droit mais socialement oui. Il y a donc un décallage certain entre la démocratie et la réallité.

Personnelement, je pense que les actes concrêts, légales ou non, sont plus efficaces que les "paroles en l'air" des politiciens.La mobillisation permet donc d'ébranler, si je puis dire, un système politique qui est pour moi létargique.Il faut agir si l'on veut obtenir quelque chose car on ne nous le donnera pas par générosité. 

Bonne vacances, ANTOINE L'ITALIEN


 
03-06-06
à 10:39

Re: moi je dit que:

C'est très bien dit! =) Mais bon, je crois qu'il faut continuer de croire en la politique (euhh, pas forcément croire les politiciens!)! On est encore jeune, on peut encore y croire! Dans quelques années je pense que ça sera fini mais bon! "L'espoir fait vivre" ;-)

 
27-05-06
à 10:10

odaliz/ jean-paul Comment les journaux télévisés nous permettent-ils de nous informer ? Tout au long des séances d'ecjs, nous avons remarqué que certains journaux télévisés utilisaient ce qu'on appelle " l'actualité chaude " pour intégrer certains dossiers sur un thème qui n'est pas tout à fait d'actualité. Prenons l'exemple du journal télévisé de vingt heure de France2 concernant le meurtre et viol du petit Mathias ( 11 mai 2006) suivi d'un dossier sur les nouvelles mesures prises à propos de la protection des enfants. En effet il y a un rapport entre le reportage et le dossier: l'enfance et la protection. Après des recherches approfondis :-) nous avons découvert que ces " nouvelles " mesures datent en réalité de 2001 ( arrêté du 15 novembre 2001 ). Nous avons également remarqué la différence de temps consacrée au reportage et au dossier: le reportage sur le meurtre du petit Mathias qui est d'actualité ne dure que trente secondes alors que le dossier sur les nouvelles mesures ( qui n'est pas vraiment d'actualité ) est d'une durée de cinq minutes. Nous pouvons supposer que ce dernier était déjà réalisé depuis un certain temps et que la direction n'attendait que le moment favorable pour l'intégrer au journal: ce qui est tout à leur honneur.

 
27-05-06
à 10:13

Re:

Je trouve cela très juste !!!!!!!!!!!

Signature ?


  mag et cynthia c
27-05-06
à 10:10

Re: Re:

Nous sommes d'accord avec toi, dans la mesure ou les médias servent a se renseigner sur la vie politique du pays. Mais les médias comme internet, journaux ou telephone, peuvent même servire a organiser des débats ou encore peuvent aidé certains politiciens a gagné les éléctions, comme en Corée où le president c'est fait élire en s'appuyant sur internet.Grâce à ça il a été mis en place un site internet afin de favoriser la participation des jeunes via des chats ou encore propose aux jeunes de s'investir ds la vie politique par le biais d'espace interactif où ils peuvent communiqués.De même certains euro-députés travailliste ont recours aux blogs pour que leur propos ne soient plus déformés ou, simplement trier ou filtrer par une presse séléctive. En ce qui concerne les journalistes, certains d'entre eux pour rédiger leurs articles, préfèrent s'appuyer sur internet, plus particulièrement les blogs (sous réserve que le blog soit de source sûr).